LES FONDAMENTAUX
L'HORMESE : ce sont les processus physiologiques déclenchés par une exposition à un stimulus intense et court, face auquel un organisme tente de s'adapter. La phase de repos qui doit suivre cette exposition, va permettre au corps de se renforcer.
L'exposition doit être adaptée aux capacités de chaque individu tant dans la durée que dans l'intensité.
Toute substance à faible dose STIMULE
à dose modérée INHIBE
à dose trop forte TUE
C'est la loi de Arndt-Schulz 1888.
Lorsqu'un système est trop sollicité il S'EPUISE ou s'use
Lorsqu'il n'est pas assez sollicité il S'ATROPHIE
L'HORMESE ETANT L'UTILISATION DE CES DEUX EXTRÊMES
SOLLICITATION PONCTUELLE /RECUPERATION
Le but étant de sortir de sa zone de confort durant un temps adapté à ses propres limites, puis de s'autoriser une phase récupératrice, de repos ou d'intégration. Le rapport entre ces 2 éléments étant la base du renforcement de notre capacité d'adaptation.
Quel que soit l'outil utilisé pour se renforcer, en fonction de la durée, le stress auquel on s'expose peut-être soit bénéfique, soit dommageable.
Cette loi de l'hormèse est un outil fabuleux, pratiqué depuis plusieurs siècles dans plusieurs domaines et par de nombreuses ethnies. Pour la plupart, faisant partie de leur mode de vie dès la naissance.
Les conséquences de notre société moderne et sédentaire nous éloignent de ces principes. C'est en partie pour cela que nos systèmes s'affaiblissent (immunité, digestion, troubles psychiques et physiques en tout genre...).
Les 4 piliers du renforcement:
LE JEÛNE - L'EXPOSITION AU CHAUD/FROID
LA RESPIRATION - L'ACTIVITE PHYSIQUE
LE JEÛNE
Le jeûne correspond à l'absence de nourriture. Si il est "hydrique", l'eau plate sera le seul liquide permis. Si il est dit "sec", ce sera sans aucun liquide.
Il n'y a pas une façon de jeûner tout comme il n'y a pas une façon de s'alimenter. Le plus important est de savoir POURQUOI on jêune et COMMENT.
A partir d'un certain temps sans s'alimenter, le corps puise en premier lieu dans les réserves de glycogène (stockage du glucose) au niveau du foie puis dans le tissu musculaire.
Une fois ces réserves épuisées, il va taper dans les graisses en transformant les acides gras en glucose.
C'est la fameuse CETOSE où le foie transforme par un processus enzymatique le glucose en CORPS CETONIQUE. L'habituation à ce nouveau carburant peut induire des effets secondaires si le corps est très intoxiqué. Beaucoup de produits toxiques (pesticides par exemple) sont stockés dans les graisses.
La cétose remet alors ces éléments en circulation dans le sang. On peut alors vivre de l'inconfort pendant cette phase. Si elle est bien menée, cette phase sera douce et de plus en plus confortable.
Plus on est habitué à taper dans les réserves et plus on est habitué à s'exposer à cette phase, alors plus le système se renforce et devient plus souple et résistant en même temps. Comme un muscle qui suivrait un entrainement visant à se renforcer. C'est là que l'HORMESE prend tout son sens.
Le jeûne intermittent notamment permet ce renforcement car le système digestif alterne entre des phases digestives et des phases de repos. Durant ce repos, beaucoup de processus physiologiques se mettent en mouvement. C'est un repos en apparence. Un nettoyage profond commence, du recyclage cellulaire, des production d'hormones de croissance etc
Des études scientifiques ont prouvées les capacités de la cellule à se régénérer en cas d'absence de nourriture. Elle est même capable de se nourrir des cellules abîmées du corps, pour fabriquer son énergie. Ce processus est appelé L'AUTOPHAGIE.
Un prix nobel sera decerné pour cette étude à un Japonais en 2016.
L’auto-digestion est invitée à la table de l’Institut Karolinska - Prix Nobel de Médecine 2016 : Yoshinori Ohsumi | médecine/sciences
Il existe des pays comme la Russie ou l'Allemagne où le jeûne est considéré par le corps médical comme un moyen de guérir beaucoup de pathologies. Des centres de jeûne sont alors accessibles et gérés par des médecins.
Le jeûne est un processus normal du corps. Lorsque notre organisme tombe "malade" dans des phases aigües la faim disparait. Cela est très courant de voir des enfants tomber malade et ne pas avoir faim (même chez les animaux). C'est normal!
Le corps priorise ainsi la lutte contre les agents pathogènes. Une fois réglée, la faim revient d'elle même.
Le jeûne dans l'histoire
Le jeûne est le dénominateur commun à toutes les religions.
Bouddhisme : Jeûne hydrique pendant la pleine lune: purification
Catholicisme: restriction sans viande, vendredi saint, carême: repentance
Hindouisme: Hivaratri, Puja, purification
Judaïsme: Yom Kippour, sec 25 heures, rachat de péchés
Islam: Ramadan, sec du lever au coucher du soleil,1 mois: commémoration à Mahomet
...
Les samouraï, les aztèques, les chamans, les africains, les païens, les druides celtes, les amérindiens pratiquaient aussi le jeûne pour la clarté mentale, le renforcement et la connexion avec les Dieux.
Hippocrate, Socrate, Platon étaient des adeptes du jeûne pour ses effets thérapeutiques sur les fonctions cérébrales.
Pythagore faisait jeûner ses futurs élèves pendant 40 jours pour passer les tests d'entrée.
Les armées romaines étaient redoutées pour leur résistance physique et mentale. Leur entrainement hormétique utilisait le chaud/ froid, le jêune.
Le jeûne chez les animaux
L'oie incube ses œufs pendant 20 à 40 jours sans manger.
Les poules jeûnent durant les 3 jours qui suivent l'éclosion des œufs.
Le manchot empereur peut jeûner 100 jours alors qu'il couve le nid.
L'éléphant de mer jeûne pendant 3 mois car elle nourrit ses petits.
La barge rousse, un oiseau migrant traverse le Pacifique sur 10 000 kms en 9 jours sans escale!
Les animaux qui hibernent, brument ou estivent sont aussi en phase de jeûne de quelques semaines à plusieurs mois: ours, chauves-souris, blaireau, raton-laveur, hamster, rongeurs, marmotte, serpent, lézard, tortue, crocodile, amphibiens, hérisson, gastéropodes, insectes...
Quelques questions sur le jeûne:
Tout le monde peut-il jeûner? Cela dépend de votre capacité d'adaptation, de votre état de vitalité (énervation), de votre état d'intoxication ou encrassement de l'organisme (toxémie). Avec un programme adapté et progressif, OUI.
Le jeûne est-il dangereux? Si vous êtes bien guidé et à l'écoute NON. Tout comme la pratique d'un sport, si vous ne respectez pas vos limites, vous pouvez obtenir des effets inverses. Aussi, si vous décidez de faire un jeûne à la maison parce que votre amis l'a fait et a vécu des miracles, vous risquez en effet d'être confronté à des inconforts sans savoir comment les gérer.
Le jeûne guérit-il les maladies? OUI. Un très grand nombre d'études aujourd'hui nous permettent de confirmer que le jeûne permet la régénération cellulaire, quelque soit la pathologie. Il permet la production d'hormones de croissances et surtout de cellules souches (cellules originelles produisant du tissus neuf).
Il est alors à adapter à chaque cas et chaque profil. Les résultats obtenus appartiennent à votre corps en fonction de ses priorités. Plus la pathologie est lourde et installée depuis longtemps, plus il faudra muscler votre capacité avec douceur et intermittence, sur le long terme tout en changeant votre hygiène de vie. Ce dernier point est l'autre objectif principal du jeûne. Si après jeûne, vous retrouvez vos anciennes routines, alors vous retrouverez les mêmes symptômes, voir pire. Quoi qu'il en soit tous les jeûnes faits dans un but thérapeutique, bien menés, permettent un retour vers la santé, aussi durable que les réformes d'hygiènes de vies sont solides.
Est-il possible de travailler et de jeûner en même temps? OUI!
Toutes les fonctions deviennent beaucoup plus disponibles. Le jeûne court et intermittent sera plus adapté au quotidien.
Par contre le jeûne long nécessite un temps pour soi, un vrai repos physique et mental car le nettoyage cellulaire demande au corps à concentrer ses énergies vers l'intérieur et non vers l'extérieur.
Les types de jeûnes: jeûne long, jeûne court, jeûne sec, jeûne à l'eau, jeûne au jus de légumes/fruits frais et bouillons, jeûne et monodiète...Chaque jeûne doit être choisi en fonction de vos objectifs et de vos capacité physiologiques.
L'accompagnement dans vos débuts est primordial. Le but de Santé Résilience étant de vous rendre autonome, par le biais de l'accompagnement, des consultations et des stages. Rien de mieux pour devenir un expert de votre santé!
L'EXPOSITION AU CHAUD/FROID
Le sauna
La chaleur déclenche le phénomène de vaso-dilatation des vaisseaux. La circulation sanguine est donc facilitée et ainsi le sang afflue de 5% à presque 60% à la périphérie du corps. Il y a donc élimination des déchets via la transpiration. Une perte en sels minéraux accompagnés de quelques acides.
Le rythme cardiaque augmente ( donc sur avis médical pour les personnes sujettes à la tension). Le système immunitaire et hormonal est sollicité.
L'axe hypothalamus, hypophyse et surrénales est stimulé en douceur. Cette pratique est alors bien indiquée aux épuisés, qui devront passer par le chaud avant d'aller se confronter au froid.
Comme les tissus se relâchent en profondeur, les douleurs s'apaisent et le drainage vers la périphérie augmente.
Le sauna est une sorte de réaction comme le ferait la fièvre, sans avoir à agir contre un agents pathogène.
Les bains byzantins, hammams turcs, banyas russes saunas finlandais... étaient avant tout utilisés pour accompagner ou induire les effets d'une fièvre (voir texte sur la fièvre) et ainsi guérir les maladies inflammatoires, de peau, rhumatismales, la congestion,
Les romains utilisaient déjà la thérapie par la chaleur. Les égyptiens utilisaient des cavernes d'airs chauffées par l'activité volcanique.
Les tribus précolombiennes utilisaient la hutte de sudation (temazcal) pour faire monter la fièvre et ainsi lutter plus rapidement contre la maladie.
Le bain froid
Hélas les conceptions erronées véhiculées sur le froid (tout comme le jeûne) depuis le développement de notre confort, nous empêche de l'utiliser à notre avantage.
Avant l' homme se confrontait au froid et au chaud plus facilement car il n'avait pas le choix. Il était confronté à des manques, des surplus...Ces écarts lui permettaient de se maintenir dans un équilibre car il était en contact avec la nature. Mais avec le développement du "confort", nous nous sommes éloigné de cet équilibre et de la nature.
Des croyances concernant le froid se sont alors intégrées au fil des générations.
Beaucoup d'hygiénistes, de sportifs, de religions se servent du froid comme un outil de renforcement physique ou mental.
Dans les aphorismes d'Hippocrate (460-377 av JC), la glace et le froid pour les douleurs, inflammations, traumas, étaient largement utilisés. En Inde, le yoga Toumo est pratiqué dans la neige du Tibet pour améliorer santé physique et émotionnelle.
Je ne peux faire une liste complète tellement le froid est utilisé depuis longtemps partout dans le monde, tout comme le chaud et le jeûne.
Pourquoi le froid a-t-il des effets sur la santé?
Le froid ressert les pores de la peau poussant le corps à produire de la chaleur. Les énergies sont alors concentrées vers le centre (contrairement au chaud) stimulant ainsi les cellules immunitaires, le système lymphatique et circulatoire. Les facteurs clés étant la température et la durée. Plus la température est basse (entre 0 et 14 degrés) plus les effets sont marqués. Un bain dans une eau à 18 degrés pendant 10 minutes n'aura que peu d'impact, contrairement à un bain dans une eau à 12 degrés pendant 15 secondes. Rappelons-nous de la loi Arndt-Schulz! Une exposition longue d' intensité modérée inhibe.
Utilisé correctement et régulièrement, le froid permet d'augmenter nos capacités adaptatives, comme un élastique, qui a besoin d'être étiré pour garder sa souplesse et sa tension.
Un faible seuil de tolérance au froid est comme un élastique que l'on étire plus. Des micros fissures apparaissent dès la moindre sollicitation.
Le froid nous met face à nous même. Il nous dévoile notre état physiologique, énergique et nos croyances limitantes.
L'alternance sauna/bain froid:
En alternant « le chaud et froid » vous allez renforcer de manière global votre système adaptatif, soit votre résistance au chaud...et au froid!!
Pour cela, il faut alterner cette chaleur extrême du sauna (environ 80/90° pour le sauna traditionnel et 40° pour un sauna infrarouge) et le froid d’une douche, ou encore mieux : comme les finlandais, le bain froid entre 8 et 14° ! Alors que le corps est en pleine vaso-dilatation, le froid brusque crée alors une réaction tout aussi rapide : la vaso-constriction, les vaisseaux se resserrent et la circulation du sang se ralentit brusquement. Puis, à nouveau dans le sauna, le phénomène inverse se reproduit et ainsi de suite. Cette alternance vaso-dilatation/vaso-constriction (sauf si contre-indication médicale) va permettre une tonification et une parfaite gymnastique du système de thermorégulation.
Le fait de tomber malade en hiver ne vient pas du froid lui même, mais plutôt de nos organismes affaiblis par 2 choses:
- un état de TOXEMIE important (développement d'agents pathogènes)
- Une vie SEDENTAIRE (dette d'activité physique colossale)
Résultat: un système immunitaire chaque année plus faible.
Nous en revenons encore au TERRAIN!
Plus nous nous éloignons des lois naturelles, plus on s'affaiblit !
Bénéfices de l'exposition au froid: production de noradrénaline et de HSP et CSP (protéines de choc thermique), réduction de l'inflammation (TNF a et MIP1 a), augmentation des lymphocytes T et NK, activation de la thermogénèse, augmentation des graisses brunes, augmentation de l'activité des enzymes antioxydantes, des performances sportives, du sommeil, de l'humeur...
POUR LES FEMMES L'HORMESE COMPORTE QUELQUES DIFFERENCES.
LA FEMME ETANT DEPENDANTE DE SES CYCLES HORMONAUX.
La fièvre
Le Dr Filonov, expert du jeûne sec en Russie a étudier les processus d'hyperthermie durant le jeûne. Il en conclut que l'augmentation de la température durant le jeûne sec est en fait une fièvre permettant au corps de réguler ces processus internes avec beaucoup plus d'efficacité qu'en jeûne hydrique.
Aussi, d'après les travaux des Dr F. Friedrich, W. Coley, W. Busch, une fièvre induite agirait sur le traitement des maladies chroniques et dégénératives et certains cancers.
A. Lwoff reçu un prix nobel pour avoir démontré l'efficacité de la fièvre sur la guérison de la myxomatose, poliomyélite, variole, coxsackie...
L'explication est simple; l'augmentation de la température est un phénomène réactionnel NORMAL du corps lui permettant de réguler les charges virales et bactériennes. Une différence d'un seul degré peut changer le cours de la guérison.
Nous le savions déjà, théoriquement. Mais ces études ont montré que plus la température est élevée, plus la rémission est rapide et donc moins de décès.
Un étude de 1935 menée par Dr H. F. Wolf sur la poliomyélite, inoculée sur des singes, a montré qu'une fièvre montant jusqu'à 42,7°C a permis une rémission totale sur ce même groupe, qui a été soumis à une hyperthermie de l'air ambiant. Alors que le groupe n'ayant pas subit d'hyperthermie a eu une fièvre ne dépassant pas 40°C. Ce groupe est décédé.
Ce genre d'étude est loin d'être isolée mais toujours inutile pour les laboratoires fabricants de vaccins, antibiotiques et autres substances chimiques rapportant des milliards de dollars.
Les processus de la fièvre selon Dr Lwoff
Un neurone est infecté par un virus. La cellule lâche des substances qui entraine une réaction inflammatoire. Le vaisseau sanguin s'élargit et l'afflux sanguin diminue. Les leucocytes sortent du vaisseau et se dirigent vers la cellule. Les globules blancs s'accumulent autour de la cellule.
Un état d'anaérobiose se créé. Une production d'acide lactique par fermentation fait baisser le PH. Acide lactique et gaz carboniques maintiennent la zone acide pour empêcher le virus de se développer.
Cet amas de calories provoque une chaleur locale. C'est l'inflammation.
En même temps, les leucocytes, en mourant lâchent des substance pyrogènes qui provoquent une augmentation de la température en détraquant le mécanisme de régulation du système nerveux; c'est la fièvre.
Tous ces processus subtils ont pour but de permettre la guérison spontanée si on lui en laisse le temps.
Les questions sur les vaccins ou les antibiotiques seraient bien entendu enrichissantes. Mais il n'en est pas le sujet à approfondir ici.
Le but est de comprendre les processus innés du corps et que peut-être, notre manque de respect et de connaissance du vivant font que les médicaments sont devenus indispensables. Notre système de sécurité social est conçu de manière à nous encourager à leur consommation par sa gratuité (en apparence).
LE VACCIN N'EST PAS UN MAL EN SOI, C EST LE MANQUE DE CONNAISSANCES DU VIVANT QUI REND SON UTILISATION INDISPENSABLE
LA RESPIRATION
Si le froid est certainement une pratique intéressante, couplé à la respiration les effets seront sans aucun doute spectaculaires.
WIM HOF nous a démontré en long et en large sa méthode, nous prouvant les effets sur les modifications physiologiques, physiques et mentales.
Pendant les exercices de respiration, nous nous retrouvons avec des phases de ventilation et des phases d'apnée.
Durant un cycle de respiration, la saturation en oxygène du sang passe de 95% (au repos) à 99% en exercice. Réduisant donc la présence en CO2. Cette chute en CO2 fait augmenter le PH sanguin (plus alcalin), ce qui participe à inhiber les récepteurs à la douleur.
En phase d'apnée, les tissus ne reçoivent plus d'oxygène car elle reste dans le sang. C'est à l'inspire qu'un processus intéressant s'enclenche; les tissus reçoivent alors la charge de l'O2 du sang + celui arrivant par l'inspiration. Double effet Kiss Cool ;) !
Puis pendant la respiration et vers la fin de l'apnée, le système endocrinien active la sécrétion de dopamine, sérotonine, noradrénaline et ocytocine.
Au quotidien, le système nerveux autonome améliore son équilibre entre le frein et l'accélérateur (action/ repos), facilitant la gestion des évènements stressants et ainsi les réponses immunitaires.
Cet équilibre joue un rôle sur la production hormonale, le métabolisme et le cycle circadien. La respiration profonde et d'hypoxie intermittente apportent un atout considérable aux sportifs.
La respiration est une porte accessible à tous vers la maitrise de soi et l'amélioration de la santé. Si le froid vous fait peur, la respiration est sans doute une belle introduction à la maitrise émotionnelle, indispensable pour aller à la rencontre du froid.
L'ACTIVITE PHYSIQUE
Pourquoi la pratique d'une activité physique est elle importante?
La première réponse est simple, le corps est construit, structurellement et physiologiquement pour rester en mouvement au quotidien.
Le corps est conçu pour rester en équilibre entre des phases actives et des phases de repos.
Le catabolisme c'est la consommation de l'énergie, fourni par l'alimentation qui permet d'être actif.
L'anabolisme c'est la phase de repos, récupération où le tissus se régénère, le système parasympathique coordonne l'assimilation, le drainage cellulaire et émonctoriel.
Les deux ne peuvent avoir lieu en même temps.
Le fait de mettre le corps en action a plusieurs effets, en fonction du type d'activité.
Activité d'endurance
Activité intensive et courte
Renforcement musculaire
yoga
Etirements
Respiration